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Ce "secret de " étant devenu un secret de Polichinelle, la Rue de Grenelle a d? se résoudre à son placard doré. En octobre 2009, elle se donne deux ans pour les inspecteurs de l'académie de Paris, et crée un concours spécifique destiné à les intégrer dans le corps des inspecteurs pédagogiques régionaux, qui assurent une mission auprès des enseignants du second degré.
Peine symbolique
Six décrets, discrètement publiés vendredi 28 octobre, "portent cessation de fonctions" des derniers survivants du bataillon. Parmi eux , membre de la direction du PS, nommé inspecteur de l'académie de [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] Paris lorsqu'il était du ministre de l'éducation Jack Lang en 2002 ; ou encore Arnaud Teullé, ex-conseiller de , nommé en mai 2008, après [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] son échec à la mairie de Neuilly (Hauts-de-Seine).
. La fin, aussi, d'une dérive de cette République pas toujours irréprochable. Les inspecteurs de l'académie [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] de Paris ont vécu. Créé en 1810 par l'administration napoléonienne pour les lycées de l'académie, ce "corps" est devenu un placard doré, servant aux politiques de tous bords à "recaser", en catimini, leurs collaborateurs, à l'occasion d'alternances [url=http://www.dcfaceone.com/forum.php?mod=viewthread&tid=9010083]giuseppe zanotti pas cher DVD Players[/url] politiques.
Le concours est un entretien oral ; les candidats [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] doivent d'une licence et de huit ans d'expérience dans les domaines de l'éducation ou de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] l'expertise. [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] [url=http://www.izumito.com/Cgi-bin/takashima/bbs/joyful/joyful.cgi]jimmy choo chaussures Défiée,[/url] Des critères très larges. Depuis, 12 inspecteurs [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] de l'académie de Paris sont [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] devenus inspecteurs pédagogiques, quatre ont pris leur retraite. Restent les six révoqués du 28 octobre qui soit n'ont pas passé le concours, soit ne l'ont pas réussi. Et, comme pour définitivement la page, la cour de discipline budgétaire et financière a désigné des responsables, dans un [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]hollister france Exil fiscal [/url] arrêt du 13 juillet.
Patrick Gérard, le [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] recteur de Paris, et Maurice Quénet, son prédécesseur, écopent d'une peine symbolique : 400 euros pour le premier, 300 euros pour le second. Leur faute ? validé neuf nominations "sans base légale" en 2006 et 2007 pour ce qui est de M. Gérard - il était alors directeur de cabinet du ministre de l'éducation . Quant à M. [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan sito ufficiale[/url] Quénet, il est à l'origine de plusieurs "mises à disposition irrégulières" au cours de cette période.
Le grand ménage à l'inspection de l'académie de Paris commence en 2009 quand la Cour des comptes décide d'y son nez. En février 2010, la juridiction administrative publie un rapport accablant, pointant une "survivance historique injustifiée". Elle dénombre alors 22 inspecteurs, tous nommés par décret du président de la République, sans condition de dipl?me ni d'expérience professionnelle. "Ces nominations dépendent uniquement de la volonté , elles ne sont en rien justifiées par un quelconque besoin de recrutement", dénonce la Cour. Ce corps n'a aucune utilité, estime-t-elle, sinon de "garantir aux personnes nommées une rémunération pérenne". Ces inspecteurs percevaient environ 4 500 euros par mois, "un niveau plus élevé que la plupart des hauts fonctionnaires en début de carrière", précise la Cour des comptes, pour des missions parfois inexistantes...
Sur les 22 inspecteurs, un seul exer?ait une mission [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] d'inspection, certains étaient chargés de mission à temps partiel. Quant aux autres, "ils bénéficiaient de sortes d'emplois fictifs", rapporte , inspecteur général honoraire de l'éducation nationale. Ils n'avaient d'ailleurs ni bureau, ni téléphone, ni ordinateur au rectorat de Paris.
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On y trouve aussi , Mathias Clément et , nommés par quelques mois avant l'élection présidentielle de 2007. Et enfin, le "doyen", , parachuté à l'inspection de Paris par Fran?ois Mitterrand en décembre 1992, avant les législatives de 1993 que la gauche était s?re de . Depuis le 29 octobre, "les inspecteurs de l'académie de Paris n'existent plus", reconna?t un haut fonctionnaire [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti pas cher[/url] du ministère.