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Les jeunes, d'abord, premières victimes du ch?mage de masse et [url=http://www.llgh.gov.cn/E_GuestBook.asp]doudoune m[/url] de l'inadaptation de l'appareil éducatif. Pour eux, le stage est la véritable école du travail. Les femmes, ensuite, pénalisées par des choix familiaux personnels ou des préjugés professionnels. Les seniors, enfin, exclus dans la fleur de l'?ge de positions qu'ils croyaient jusqu'à la retraite.

Pour beaucoup [url=http://www.gdxjkcky.com.cn/E_GuestBook.asp]barbour uk[/url] d'entre eux, ces statuts hybrides constituent la dernière étape avant P?le . Ils deviennent ainsi indispensables par ces temps de disette économique, comme un sas entre deux mondes souvent bien étanches : [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] celui du salariat et celui du ch?mage.
Et puis le petit boulot s'est réfugié dans l'imaginaire des anciens, remplacé par des choses beaucoup plus sérieuses : les [url=http://urtls.com/service/feedback_look.php?id=5750]barbour Should Business Communication Be A Human Right[/url] stages, l'intérim, l'autoentrepreneuriat... Une manière plus technocratique d' des emplois qui ne partagent ensemble que [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] leur [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] fragilité. Des occupations à temps réduit, à salaire [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] minimum et à protection faible, mais aussi de nouvelles portes d'entrée sur un marché du travail de plus en plus fermé aux [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] candidats.
COMMENT LE BON GRAIN DE L'IVRAIE ?
Et puis, comment le bon grain - le stage demandé, l'emploi partiel ou autonome voulu - de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] l'ivraie - un sous-salariat subi qui flirte avec la fraude ?
Comme la langue d'Esope, ces "mini-jobs" sont [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] la meilleure et la pire des choses. Mais il serait criminel, pour les 5 % d'abus, de des pratiques qui ont fait la démonstration de leur utilité.
Nous avons tous expérimenté un jour les petits boulots, ces "jobs" d'été ou destinés aux étudiants, rite initiatique du passage dans le monde adulte du travail. Ils occupaient les vacances, voire finan?aient les études. On était serveur, professeur ou vendangeur, avant d' dans la vraie vie professionnelle, celle avec un métier correspondant à sa formation.
La France n'est pas isolée. Tous les pays connaissent cette [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] zone grise, mais leur proportion varie fortement. L'adoption des réformes du chancelier ?der en 2005 a entra?né l'explosion du nombre des "mini-jobs" en . Aujourd'hui, ils y représentent près de 20 % de la active. Aux Etats-Unis, on estime que les seuls travailleurs indépendants seraient près de 40 millions, soit un tiers des actifs. En [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] comparaison, en France, si l'on cumule 1,6 million de stagiaires et 900 000 autoentrepreneurs, on n'atteint même pas les 10 %.
La tentation est grande de dans ces écarts une des explications de la "surperformance" fran?aise en matière de ch?mage. Plus de petits boulots, et donc plus [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] de précarité, équivalent à moins de ch?meurs. Et l'effet n'est pas seulement statistique. les gens en activité accro?t leur chance de un vrai travail par la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] suite.
Le dilemme est cornélien pour les gouvernements. En théorie, ils devraient flexibiliser le travail en période de crise et le quand le beau temps revient. Mais ils ont tendance à l'inverse, quand ils le peuvent, car accro?tre la précarité quand tout va mal n'est jamais [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] très populaire.