Energizing Tournament

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M. Parisot distingue deux types de discours chez les dirigeants. D'une part, ceux qui expliquent abaissé leur point mort, réduit leurs stocks, bref s'être mis en ordre de bataille [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pour relativement sereinement un redémarrage plus franc de l'économie.
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Sur les trois premiers mois de l'année, 79 % des [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] groupes du S&P 500, l'un des indices de référence de la américaine, ont fait mieux [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] que le consensus des analystes en terme de bénéfice par action, a calculé le courtier Aurel BGC. Mais la proportion tombe à 46 % pour le chiffre d'affaires.
Autrement dit, "America Inc.", comme on surnomme parfois le tissu d'entreprises outre-Atlantique, est parvenu [url=http://sc.easyes.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=1507987]abercrombie soldes Picking Out The Most Effective Program To Begin Pulling In Mo[/url] à les co?ts et à sur les dépenses. Mais le regain d'activité n'est pas au rendez-vous. En moyenne, les ventes ont reculé de 0,6 % entre le premier trimestre 2013 et la même période [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] de 2012. "Nous sommes dans un scénario de croissance molle", résume , responsable de la recherche chez Aurel BGC.
Ce marasme alimente les craintes de [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] bulle boursière. Car, pendant que les entreprises tergiversent, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] les marchés actions volent de record en record. Le 15 mai, le S&P 500 a franchi un plus haut historique, à plus [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] de 1658 points. Le décalage est d'autant plus frappant que les analystes continuent de à la baisse leurs prévisions de bénéfices pour 2013...
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C'est le cas notamment de Caterpillar, le leader des engins de chantier, qui a publié des résultats décevants, mais a noté des progrès dans l'économie américaine, provoquant un rebond de son cours de Bourse.
"Mais le ma?tre mot reste l'attentisme. Si les choses ne vont pas aussi mal qu'en 2009, au plus noir de la crise, les dirigeants [url=http://cgi.members.interq.or.jp/earth/ecom/mushi/bbs/bbs.cgi]nike air jordan pas cher How [/url] manquent de visibilité et se montrent extrêmement prudents dans leurs prévisions", indique M. Parisot. Autrement dit, ils n'investissent ni en recherche-développement ni dans l'appareil de production, hypothéquant encore [url=http://www.woolawoola.com/bbs/home.php?mod=space&uid=6818][/url] [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] un peu plus la possibilité d'un réel rebond de l'activité.
Seconde catégorie : les optimistes, qui parient sur [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] une reprise de l'économie au second semestre, comme les chimistes (Dupont) ou certaines s technologiques (Cisco).
"La hausse des marchés est alimentée par l'afflux de liquidités de la banque centrale américaine. Donc, de deux choses [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] l'une : soit cette monétaire provoque la relance économique espérée, et l'appréciation des est justifiée. Soit ce n'est pas le cas, et la Bourse sera rattrapée par la réalité", avertit M. Parisot.
"MITIG?E", "ni bonne ni mauvaise" A l'image des économistes, divisés sur la réalité de la reprise américaine, les analystes financiers sont partagés sur la lecture à des résultats trimestriels des .
AFFLUX DE LIQUIDIT?S
Encore très exposés à un marché domestique convalescent, les groupes américains p?tissent aussi du ralentissement de la croissance dans les pays émergents, et Amérique latine en tête. Sans l', plus lointaine, mais mal en point.