eiuu8l6a
Joined: 09 Aug 2013
Posts: 3538
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Wed 13:41, 18 Sep 2013 Post subject: peuterey Enrique Morente, chanteur flamenco |
|
|
En 1988, à l'abbaye de Fontfroide, où l'invite Frédéric Deval, les fresques de la bibliothèque dues à l'impressionnent, il s'en inspire. Enrique Morente prépare alors une messe flamenca qui sera créée au Thé?tre de Sartrouville : "Je ne suis pas un cas. Si l'on veut être honnête, on reconna?tra que tous les cantaores, tous les chanteurs flamenco sont d'une fa?on ou d'une autre sortis de leur cadre. L'art [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] doit , se , pour au . (...) Moi aussi j'aime le chanteur à balafre avec une [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] dent en or par devant, mais je sais que la réalité bouge, et le flamenco avec. Si la messe flamenca que je donne à est singulière, c'est par rapport à la liturgie classique. Pas pour l'esprit flamenco. C'est pour choisi des poèmes de , de Juan del Encina ou de Jean de la Croix comme illustration des actes traditionnels [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] de l'office..."
Quand on l'interrogeait sur ses rapports à la religion, il aimait d'une phrase de qu'il avait entendue à la radio : "Moi, avec Dieu, ?a se passe à [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] peu près bien. Mais je me méfie pas mal du personnel au sol."
?
?
Enrique Morente s'est confronté à des orchestres symphoniques, des grands du jazz (Max Roach), des danseurs, des conférenciers. Sa fille Estrella est une cantaora populaire, épouse d'un torero inspiré, é.
Dès ses premiers enregistrements (avec Ni?o Ricardo), l'étiquette d'avant-gardiste lui est attribuée. Elle le servira autant qu'elle le placera en porte-à-faux. Son ambition n'est pas de dérouter, mais de . Avec assez d'amour de la tradition pour la : "Si tu détruis, que ce soit avec des outils nuptiaux." (René Char), Enrique Morente connaissait [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] bien la poésie contemporaine.
13 décembre 2010 : Mort à Madrid.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Sa ville natale a décrété trois jours de deuil pour sa disparition. Outre sa réputation internationale, sa formidable humanité, son encyclopédisme, se distingue sur deux plans : une profondeur reconnue de tous ; mais, aussi, sa volonté d' le cante aux rénovations et modernités. Ce qui lui valut faveurs, contestations, et le premier Prix national du ministère espagnol de la attribué, après tous les grands classiques, à un flamenco.
1964 : Premiers concerts à New York.
Ses séjours en France - Toulouse, à l'initiative du guitariste (1974), Paris... - étaient sources de découvertes, de lectures et d'échanges. De son c?té, il met en musique : "En art, on peut tout , à condition de ne pas la . Là est le vrai risque. Il ne faut pas se en voulant être à tout prix dans l'extrême contemporain."
Le flamenco n'a pas de lieu. Il na?t à l'endroit où il se chante et se danse : Tokyo, qui compte plus de tablaos ("cabarets") que Madrid aujourd'hui, ou Montreux (le 13 juillet 1988)... En tablao, seules changent [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] la jauge, la proximité, la voix nue. Et le public. Lors de son premier séjour à New York (1964), tout lui va : "Je ne savais rien de la ville. Ce fut un plein de chances et de bonheurs. J'y suis resté un mois et demi et j'y ai re?u un accueil incroyable. Toutes les nuits, j'allais dans les clubs de jazz."
?
, compositeur, historien, cantaor ("chanteur flamenco") qui a marqué l'époque, est né à [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] Grenade dans le quartier de l'Albaicin, le 25 décembre 1942. Il vient de le 13 décembre 2010 à Madrid, d'un . Son premier nom de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] scène fut "El Granaino".
Le 16 avril 2010, il devait , à la MC 93, à Bobigny, le festival bleues, partageant la scène avec un artiste à [url=http://cgi.innersense.jp/dxg/bord/joyful.cgi?page&]peuterey Comment contrôler le[/url] la mode, Miguel Poveda. Lequel refusa de se , un volcan islandais [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] ayant bloqué ses [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] musiciens et son matériel dans quelque aéroport. Et sans "concept", point de concert. Morente, lui, a invité en toute simplicité ses amis de Paris, Antonio [url=http://020pc.net/pc/news/199.html]barbour outlet Les Croods crise dadolescence ch[/url] Maya et Pablo Gilabert (guitaristes) et Paco El Lobo (cantaor). Tous en [url=http://www.jimin-togane.jp/cgi-bin/aska/aska.cgi?ref=hikayee.net]louboutin pas cher Galeries L[/url] scène, moment magique. Qui n'a pas entendu Enrique Morente Le de fl?teau de Brassens, dont il [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] se régalait dans les fêtes privées en poussant carrément le bouchon de l'accent espagnol, n'a pas vécu.
?
LA [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] R?ALIT? BOUGE, LE FLAMENCO AVEC
?
25 décembre 1942 : Naissance à Grenade ().
Surgissent des images, des mémoires de voix, des souvenirs : pour Enrique Morente, un inoubliable récital à Hall (Lincoln Center, à ) avec à la guitare, son triomphe à l'Olympia (1981), sa soirée à la Biennale de Séville en 1986, son concert en compagnie de (guitare) à la Cité de la musique (Paris, 1988)...
?
Issu d'un milieu très humble, payo ("non gitan"), Enrique Morente monte à Madrid, où il exerce le métier de cordonnier. Ce qui lui permet de les grands anciens du flamenco, qui l'adoptent. Il fréquente les poètes et les milieux antifranquistes : "L'époque franquiste, expliquait-il, a voulu du flamenco un drapeau, l', le folkloriser. La situation et sociale était toute différente. Le flamenco était plus pur mais plus froid. Les dentistes avaient nettement moins de boulot qu'aujourd'hui. Et la nuit, après les spectacles, on se retrouvait dans dix cabarets très importants, Gitans et payos, ce furent des moments d'importance capitale dans la création."
1981 : Triomphe à l'Olympia.
The post has been approved 0 times
|
|