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Posted: Tue 8:39, 24 Sep 2013 Post subject: hollister Clermont-Ferrand a tourne à lé |
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Ce qui fait à Georges Bollon, l'un des fondateurs du festival, que "le court-métrage est un objet [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] de proximité" : "Pendant les séances, les lycéens peuvent se : voilà ce que je pourrai dans quelques années, se disent-ils. ?a ne leur para?t pas inaccessible comme un long-métrage".
Vendredi 8 février, les projecteurs s'éteindront, le matériel dispara?tra, les jeunes retourneront à leurs études. L'équipe du festival rêve qu'un jour, l'école devienne pérenne. Dans la capitale mondiale du court-métrage, le projet d'une école publique de cinéma – une antenne de Louis-Lumière, par exemple?– est une arlésienne. Dans le passé, des dossiers ont été montés. A chaque fois, ce sont d'innombrables palabres entre le préfet, le ministère de la , les élus locaux, etc. Tout cela prend quelques années, et pour peu que la majorité change, le ch?teau de cartes s'effondre. Reste l'usine à rêves, cinq jours, durant le festival.
En aparté, le cinéaste Jean-Guillaume Sonnier, assistant du département cinéma de l'Ecal, nous explique le d' : "Vincent Dietschy a pris des extraits de scénarios de ses prochains longs-métrages, une comédie et un thriller. Les deux premiers jours, les comédiens lisent et répètent les textes. Les troisième et quatrième jour, ils vont en scène, le jeu. Les acteurs se confrontent au réalisateur. Celui-ci voit comment il peut [url=http://samjoywallet.com/noah/item/136300]hollister sale Le marketing contre la pauvreté, p[/url] les là où il voudrait. Le cinquième jour, c'est la projection des rushes. C'est souvent du matériau brut, pas monté. ?a permet de une discussion, un debriefing de ce qui a marché, ou pas", conclut l'ancien dipl?mé de l'Ecal.
. Un étudiant de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Louis-Lumière manipule deux caméras pour en 3D. L'écran géant restitue la scène en train de se , un extrait de Frankenstein Junior (1974) de Mel Brooks. Des zombies en lunettes rouge et verte jugent le résultat. [url=http://www.023.net.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=2610096&pid=2988410&page=1&extra=page=1#pid2988410]moncler pas cher Postbank sauve les résultats de[/url] ?a rentre, ?a sort du studio. Pas comme sur un vrai tournage, où tout se passe à huis clos. Ici, l'Atelier est ouvert au public. Nous sommes à l'école d' de Clermont-Ferrand.
Chaque année, depuis 2003, elle se transforme durant cinq jours en "école éphémère" de cinéma, baptisée l'Atelier, à l'occasion du Festival du court-métrage. Les étudiants et lycéens se sont rencontrés, pour la première fois, dimanche 3 février. Deux jours plus tard, c'est la ruche. Jér?me [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] Ters, l'un des sélectionneurs du festival, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] qui vient d' "1 700 films en trois mois", anime l'école éphémère avec , responsable du p?le audiovisuel de l'école d'archi.
On traverse une cour, et voici la grotte enchantée des lycénnes du bac pro photo de Romagnat. Les jeunes filles accueillent les visiteurs dans un décor revisité de La Science des rêves (2005), du même . Tous ceux qui veulent s'installent, s'approprient les éléments de décor en carton, et prennent la pose. On ne le savait pas, mais le festival du court-métrage de Clermont attire régulièrement sept cents lycéens ayant choisi l'option cinéma.
A Clermont, les étudiants se jettent à l'eau. Issus d'une dizaine d'écoles et de cursus divers, ils mettent en pratique [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] leur savoir-faire : l'école Artfx, de Montpellier, forme aux effets spéciaux et à la 3D. Domitille, étudiante en troisième année, montre les photomaton réalisés sur fond vert. Des portraits de gar?ons et de filles qui se changent en monstres.
"Rencontrer les réalisateurs ne suffit pas à comment on tourne un [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] film. Il [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] fallait un lieu de fabrique", explique Jér?me Ters. "Cela nécessite beaucoup d'organisation. Quatre mois avant le festival, des étudiants en archi de Clermont et de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Nantes se sont mis à préparer les décors", ajoute Jacques Pouillet. L'école éphémère fait [url=http://www.wordtravels.com/forum/discussion/393/brazilian-sim-card-]peuterey Je taurais bien mis K , mais jai déjà utilisé tout mon quota de K[/url] des émules, avec des variantes, si l'on pense à "l'usine de films amateurs" initiée par Michel Gondry, au Pompidou, il y a un an.
Plus loin, d'étranges silhouettes lunaires déambulent, dans leur combinaison blanche : ces jeunes préparent le dipl?me des métiers [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] d'art, à Cournon d', et se destinent aux métiers de l'animation. Ils jouent le jeu à fond : le thème de cette année, c'est la science [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] et les particules imaginaires. "On les déguise, ils se l?chent !", sourit Jér?me Ters.
Le site Web de "l'école éphémère" de cinéma : [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] .
Au fond à gauche, derrière le rideau noir, c'est l'atelier de direction d'acteurs. Vincent Dietschy, réalisateur de La Vie parisienne, nommé aux Césars 2013 [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] du meilleur court-métrage, est en pleine discussion avec des comédiens, étudiants à l'Ecole cantonale d'art de Lausanne (Ecal). On passe une tête, il ne faut pas déranger.
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