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Posted: Tue 13:07, 22 Oct 2013 Post subject: hollister outlet sale Au Soudan, sévère r& |
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Jamais, en vingt-trois ans, le n'avait fait l'expérience d'une si longue période de manifestations. La répression est à la mesure de la menace. Les blessés évitent de se dans les h?pitaux, de peur d'y être arrêtés par les de renseignement. Les personnes arrêtées par la ont été détenues dans des commissariats et beaucoup [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] d'entre elles ont [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] été rel?chées. Mais il reste des prisonniers aux mains des services secrets (NISS) ou d'autres services de renseignement qui, dans le passé, ont déjà fait usage de la torture dans les ghost houses ("maisons fant?mes", lieux de détention secrets).
L'ESPOIR DE LE R?GIME
Dans l'Etat du ou dans celui du , les meilleures unités de l'ée sont mobilisées pour de à [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] bout d'une coalition rebelle. Le SPLM Nord, noyau de ce mouvement, est constitué [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] par les forces de l'ex-rébellion sudiste, désormais au à Juba, restées au Nord au moment de la sécession.
Selon , une cinquantaine de militants seraient détenus dans des lieux inconnus. Parmi eux, des responsables du mouvement, très actifs sur , comme , qui a disparu depuis le 22 juin.
MOUVEMENTS REBELLES EN EMBUSCADE
Ce pari, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] qualifié de "suicide collectif" par l'envoyé spécial américain pour le Soudan, , menace de se contre le Soudan du Sud, qui espérait en bénéficier. Car les bénéfices de l'exploitation pétrolière [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]mulberry outlet What Is The S[/url] comptaient pour 98 % dans les recettes du [url=http://www.soitek.com.tw/cyes/guestbook.asp]barbour de[/url] gouvernement. En décidant de les exportations, Juba était supposé sur un "trésor de guerre" afin de le temps nécessaire pour Khartoum à genoux. Ce trésor n'existe pas et le est aux abois.
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Pour la première fois depuis janvier 2011, des mouvements de [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] contestation tentent de à l'université de Khartoum dans la foulée des "printemps arabes". Les étudiants ont été rejoints par d'autres couches de la , alors que la contestation s'étendait. D'abord, dans les "trois villes" [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] qui constituent Khartoum, dont Omdourman, puis ailleurs au Soudan, jusqu'à El-Obeid, dans le Kordofan Nord, ou à Port-Soudan, sur la mer Rouge, au point de de le en difficulté.
Ces mesures incluent la suppression partielle des subventions étatiques sur le prix du carburant (2 milliards de dollars par an), avec pour effet de pratiquement le prix de l'essence, alors que la nourriture a déjà augmenté d'environ 50 % au cours des mois écoulés.
En 1964, puis en 1985, des manifestations avaient fini par entra?ner la chute du . Mais en 1985, il y avait un million de personnes dans les rues de Khartoum, le du général Nimeiry était à bout de souffle et l' avait pris la décision de le en profitant d'un de ses dé. Deux ans plus t?t, la guerre civile avait par ailleurs repris avec le Sud. Cette fois, les manifestations sont plus sporadiques, mais le Sud, qui a fait sécession en juillet 2011, [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] est à l'origine d'un nouveau conflit.
Le président a envoyé, début juin, une lettre aux ministres et députés sudistes faisant état de la disparition de 4 milliards de dollars des coffres de la nouvelle nation. Il annon?ait [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140732749694]hollister Londres des manif[/url] l'ouverture d'un compte au sur lequel les bénéficiaires de la corruption sont invités à ce qui reste des sommes détournées.
Dans le même temps, les deux Soudans sont engagés dans une course contre la montre. La décision, prise en janvier à Juba, de les vannes du brut (350 000 barils par jour produits au Sud mais écoulés par le [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] Nord) était basée sur un "pari". Celui d'étouffer économiquement Khartoum en privant la capitale ennemie des bénéfices per?us lors de l'acheminement du brut, exporté, depuis le terminal de Port-Soudan.
Pour le Soudan, la menace est sérieuse. Une percée des forces du SPLM Nord et de leurs alliés, réunis dans le Front révolutionnaire du Soudan (FRS), pourrait El-Obeid, la capitale du Kordofan Nord, porte de Khartoum. Ces mouvements rebelles ont appelé leurs membres à se aux manifestations et Armane, le secrétaire général du SPLM Nord, a même promis un "cessez-le-feu" si le était renversé.
Le feu qui menace le Soudan a-t-il pris [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] dans le dortoir des filles, à l'université de Khartoum ? Le 16 juin au soir, c'est là que la contestation a commencé. Les étudiantes protestaient contre l'envolée des prix, notamment ceux des (l'inflation dépasse officiellement 30 %). Rapidement, elles s'étaient retrouvées dans la rue, criant des slogans hostiles au , bient?t rejointes par les étudiants. Matraquages, gaz lacrymogènes, tirs en l'air : la manifestation avait pris fin dans une confusion familière au , mais l'irruption de membres des forces de sécurité dans le dortoir féminin avait choqué.
Vendredi 22 juin, des manifestations ont eu lieu dans 22 endroits à Khartoum, même si beaucoup d'entre elles étaient constituées de petits groupes. Le mouvement de protestation avait pris de l'ampleur après l'adoption au Parlement, le dimanche précédent, d'une série de mesures d'austérité pour remédier au déficit du budget estimé par le ministre des à 2,4 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros). Des mesures d'économies ont été décrétées contre l'avis d'une partie des responsables du Parti du Congrès national (PCN, au ), qui avaient anticipé ce mouvement de contestation.
L'idée de le à Khartoum par des manifestations ne se con?oit que si le [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] mouvement entra?ne des changements de camp au sein de l'armée et des services de [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] sécurité, note Douglas Johnson, un des meilleurs connaisseurs du Soudan, et, "à ce stade, on n'en est pas là ". A la question de si le Soudan est au bord d'un nouveau "printemps arabe", le président Bachir a donné sa réponse lundi 25 juin à Khartoum, devant des étudiants proches du parti au , qualifiant les manifestants de "conspirateurs, tra?tres et collaborateurs", manipulés par des "étrangers". "Les gens qui br?lent des pneus sont en tout petit nombre et ils essayent de à la violence", a-t-il averti.
Les forces de sécurité ont re?u l'ordre de usage de la force. Elles sont appuyées par les hommes en civil des services de renseignement et par les rapata ("bandits"), les milices du parti au dont les membres sont connus pour leur maniement de la barre de fer et de la machette.
Dans ce , les partisans de la contestation espèrent une occasion pour le président Omar Al-Bachir, qui a pris le lors d'un coup d'Etat le 30 juin 1989. Depuis samedi, la répression est sévère, pour le mouvement dans l'oeuf. "Ce qui arrive est historique et on va jusqu'à ce que ce régime putschiste soit renversé à son tour", affirme Ahmed Samir, un des responsables du collectif d'associations Sudan Change Now (Changement au Soudan maintenant), joint par téléphone à Khartoum. Ce collectif tente de les manifestations et de et informations de blogueurs et tweeteurs. La recette désormais classique des révoltes arabes. Des numéros de téléphone à l'étranger ont été créés pour la censure et des informations.
UN "SUICIDE COLLECTIF"
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