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Posted: Mon 21:11, 14 Oct 2013 Post subject: nike air jordan pas cher Corse la fin de lexoné |
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Les députés [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] en cause plaident la bonne foi. "Il s'agissait de les dispositions confiscatoires des 75 % et surtout pas de nous une balle dans le pied", se défend un proche de Camille de Rocca-Serra. Le même assure : "L'article 14 de [url=http://www2u.biglobe.ne.jp/~zerov/light.cgi?res=97]louboutin Easily Avoidable In[/url] la loi de finances ne figurait pas dans le texte de la saisine, le Conseil constitutionnel s'en est emparé pour le ." Ironie du sort : l'amendement qui maintenait l'exonération avait été déposé par (PRG), seul député corse de gauche. Mais en son absence devant la commission des finances de l'Assemblée nationale, le texte avait été adopté par une seule voix : celle de .
La combinaison de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] ces inquiétudes sociales et d'un économique dégradé donne surtout du grain à à une partie de la mouvance indépendantiste, la plus radicalisée. Après de longs mois d'inactivité et de silence, le FLNC a revendiqué le 19 décembre 2012 une série de 31 [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] attentats commis quelques jours plus t?t à travers l'?le : "Ce [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] sont 85 000 résidences dites "secondaires" qui sont aujourd'hui implantées en Corse, soit la trame d'une véritable économie souterraine au détriment de notre peuple, au seul profit de spéculateurs étrangers", ont tonné les clandestins. Sans véritables soutiens depuis plusieurs années, ils savent cette fois trouvé l'oreille attentive d'une partie de l'opinion.
LE SPECTRE D'UNE D?POSSESSION PROGRAMM?E
Déjà, [url=http://www.raple.net/cgi-bin/usj/fantasy200611/fantasy.cgi]hollister france Reverse Cell[/url] des régions entières se retrouvent hors de portée d'éventuels acquéreurs locaux. Sous couvert d'anonymat, un agent de Porto-Vecchio (Corse-du-Sud) ironise sur "les ghettos de riches, où 99 % des résidences appartiennent à des propriétaires de la [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] région parisienne ou de l'étranger". Ce phénomène n'est plus circonscrit aux enclaves touristiques mais gagne des hameaux reculés où des investisseurs fortunés s'offrent à prix d'or d'antiques maisons de pierre génoises.
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Disparue depuis [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] 1999, cette spécificité a néanmoins perduré sous la forme d'une mesure "temporaire", de prorogation en prorogation. C'est en prévision de son abandon définitif en 2017 – prévu à l'article 14 de la loi de finances censurée – et pour ce passage au droit commun, que le Groupement d'intérêt public de reconstitution des titres de propriété, une structure indépendante créée [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] en 2006, tente de la propriété des biens. 6 000 dossiers ont déjà été traités. Mais il en resterait 70 000 au bas mot. Que deviendront-ils ?
Quasiment unanime à l' du , la classe politique locale est montée au créneau. De leur c?té, les trois députés (), sur les quatre que compte l'?le, disent été dupés. Camille de Rocca-Serra, et font profil bas depuis que les Corses ont découvert leurs noms parmi [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] ceux des signataires de la requête en saisine du Conseil constitutionnel. "Ils ont contresigné l'arrêt de mort de l'arrêté Miot", ricane un élu de gauche.
, le Conseil constitutionnel [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] a allumé [url=http://www.lsjq.net/E_GuestBook.asp]moncler Ei[/url] la mèche d'une bombe à retardement dont l'horlogerie tourne, dans l'?le, depuis plus de deux siècles : l'arrêté Miot. Cette disposition, créée par l'administrateur général des départements de la Corse André-Fran?ois Miot en 1801, a abouti, au fil des années, à une exonération de fait des droits de succession dans l'?le. Faute de déclarations successorales, [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] 40 % à 45 % des biens immobiliers concernés se retrouvent ainsi [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] en en indivision – parfois sans propriétaire clairement identifié.
LA CLASSE QUASIMENT UNANIME
Derrière ce débat technique, la censure constitutionnelle plonge l'?le dans un désarroi plus profond en laissant , sur une dont le salaire moyen est inférieur de 20 % à celui du continent, le spectre d'une dépossession programmée. La raison ? "Pour la première fois de notre histoire, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] les droits de succession seront assis sur la valeur vénale d'un bien", explique Louis Orsini, l'un des spécialistes insulaires de la question, ma?tre?de conférences à l'université de Corse. "Or, compte tenu de la loi du marché, une petite maison en ruines en bord de mer va une telle valeur que l'homme de la rue ne pourra jamais régler sa succession pour la dans son patrimoine familial."
C'est en partie cette situation qui a poussé une délégation de militants nationalistes du mouvement Femu a Corsica à déployer, samedi 5 janvier sur les grilles du Conseil constitutionnel, une banderole proclamant "Le peuple corse doit vivre".
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