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Le vote en ligne était ouvert du 24 février au 2 mars. Pour son de cette fa?on, le citoyen doit, comme l'explique Tarvi Martens, concepteur du vote électronique estonien, "disposer d'un ordinateur, d'une carte d'identité électronique et de deux codes PIN, l'un pour s' au début de la procédure, l'autre pour sa signature électronique". L'utilisation du téléphone portable permet simplement à l'électeur de "s' non plus gr?ce [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] à sa carte d'identité électronique mais par la carte SIM de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] son mobile". A la fin de la procédure, chaque Estonien qui aura fait le choix d'un tel vote doit de sur pour y déposer son enveloppe électronique.
Pour en plus : Le rapport sur .
Finalement, la conception d'un véritable vote par mobile pourrait un débouché inattendu, sur d'autres continents. "Cela peut [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] intéresser certains pays africains ou d'Asie du Sud-Est. Des pays où le taux de pénétration d'Internet est bien moins élevé que celui des téléphones portables", estime Manuel J. Kripp.
Expérimenté et perfectionné depuis six ans en Estonie, le vote électronique deviendra-t-il un jour le vote par téléphone ou par SMS ? , à l'origine [url=http://aidiban.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2634]barbour uk Chanel Reliable Totes At This Moment On The Web![/url] [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] du système estonien, refuse toute surenchère technologique inutile. "Le vote exclusivement réalisé par mobile est possible, mais j'ai des doutes quant à sa pertinence. Tout d'abord, l'ajout de nouvelles plates-formes requiert des co?ts supplémentaires. Et puis, plus la complexité du système se développe, plus sa sécurité décro?t", affirme-t-il. "De plus, nous sommes suffisamment innovants. Tout le monde possède un ordinateur, qu'est-ce qu'un vote purement par téléphone portable apporterait de plus à la société ? Et nous devons aussi à l'égalité de traitement des électeurs. S l'on développe des systèmes pour , Symbian ou iOS, que fait-on des personnes qui ne possèdent pas ces instruments ?"
, dimanche 6 mars, le gouvernement mené par le premier ministre libéral sortant, Andrus Ansip, devrait, selon toute vraisemblance, être reconduit avec le soutien [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] de son allié traditionnel conservateur, le parti Pro [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister Explorer une nouvel[/url] Patria et Res Publica (IRL). Dans ce pays de 1,3 million d'habitants, la nouveauté réside plut?t dans les multiples fa?ons de , avec un recours assumé aux nouvelles et la promotion du vote électronique. Cette année, une nouvelle étape a été franchie, avec l'identification du e-votant gr?ce à la carte SIM de son téléphone portable.
Pour Manuel J. Kripp, plusieurs facteurs expliquent le r?le de précurseur de l'Estonie en la matière : "Une [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] volonté d'innovation non freinée par le risque éventuel, une férue de technologie et enfin la taille modeste du pays." Urmo Kübar développe, lui, en faisant référence à l'histoire estonienne : "J'ai 32 ans, j'ai déjà vécu deux changement de monnaie, je suis passé d'un pays occupé [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] à un pays libre avec tous les changements que cela induit. Les Estoniens de ma génération et les plus ?gés sont si habitués au changement..." Et puis, ajoute Urmo Kübar, non sans une ironie pleine de bon sens, "pourquoi devrais-je [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] une heure à la queue pour alors que je peux le en cinq minutes et mon dimanche en à les résultats [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] ?"
Depuis les élections de 2005, le pays mérite bien son surnom de "e-Estonie" en matière . Le vote électronique a été introduit à cette date et n'a eu de cesse de de l'ampleur depuis. "De 5,5 % lors des législatives de 2007 à 15,8 % lors des dernières municipales, la proportion en hausse de e-votants montre à quel point les Estoniens sont désormais accoutumés à cette pratique", remarque Manuel J. Kripp, qui dirige [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] un cercle de réflexion autrichien consacré au vote électronique. La tendance devrait être à la hausse en 2011, puisque [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] comme l'indique , membre [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~rainman/keiji4-1235/yybbs.cgi]www.achbanker.com/home.php Un[/url] de la Commission électorale estonienne, "au 28 février, 80 252 votes électroniques ont déjà été enregistrés".
CARTE SIM ET CARTE D'IDENTIT?
Alors que dans beaucoup d'autres pays, la question de la sécurisation d'un tel vote se poserait et déclencherait bien des débats, en Estonie, "personne ne remet en cause la sécurité du vote électronique : il faudrait toute forme de technologie pour cela", estime Urmo Kübar, qui travaille dans un organisme chargé d'étudier les bonnes pratiques électorales. "Nous utilisons tous une banque en ligne, nous déclarons nos [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] par Internet, nous signons en ligne des contrats. Si tous ces procédés sont sécurisés, pourquoi le vote électronique ne le serait-il pas ?", s'étonne-t-il. Et lorsqu'on l'interroge sur les possibles pressions ou achats de vote, l'expert ne se démonte pas : "Imaginons que l'on me force ou que l'on achète ma voix. Cela n'a pas beaucoup de sens, car dès que la personne me quitte, j'ai la possibilité de ce choix contraint en revotant. Et même lorsque le vote électronique prend fin, je peux encore me aux urnes le dimanche de l'élection. C'est ce vote traditionnel qui sera alors pris en compte."