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Posted: Mon 3:51, 23 Sep 2013 Post subject: hollister outlet sale La France défend les chance |
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ACCORD DES PAYS VOISINS
Sans jusqu'à que 100 % du financement soit public, Paris demande la garantie de l'Etat jordanien pour l'apport de capitaux privés et la réduction de leur co?t. Une demande que Khaled Touqan, président de la Commission pour l'énergie atomique jordanienne, affirme "entendre". "Le modèle conventionnel de financement passe par la garantie de l'Etat ? Des solutions existent", indique-t-il, même si la dette publique dépasse déjà les 65 % du PIB et que [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la loi jordanienne interdit d' au-delà. "Si l'Etat s'engage à l'électricité [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] à un prix compétitif, cela équivaut à une garantie", ajoute un proche du dossier.
En dehors de ces difficultés financières, le projet nécessite un consentement des pays voisins. observe [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] la situation de près et a souhaité publiquement être associé au projet. La France y verrait un avantage à la fois financier et politique. Mais Amman refuse catégoriquement. "Nous ne pouvons pas nous avec un pays non-signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP)", affirme M. Touqan. Il est évident, pour les observateurs, qu'en l'absence d'un accord israélo-palestinien, la Jordanie refusera toute association trop visible avec l'Etat juif.
La Jordanie a deux problèmes que le nucléaire civil pourrait résoudre. Primo, elle est aujourd'hui dépendante à 96 % des énergies fossiles (gaz et ) importées au prix fort. Et les [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] deux centrales qu'elle souhaite - une au sud, [url=http://rzazy.com/forum.php?mod=viewthread&tid=962872&fromuid=26002]boots ugg pas cher Selon lOCDE, la Suisse est appauvrie par un manque de product[/url] près d'Aqaba, sur la mer Rouge et l'autre au nord, près de la - permettraient de cette , tout en répondant à l'accroissement des besoins (4 500 MW en plus seront nécessaires d'ici à 2030). Ce surcro?t d'énergie aurait un autre avantage non négligeable : il rendrait possible la construction d'usines de dessalement d'eau de mer pour face à la pénurie frappant déjà [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le pays.
La Jordanie n'est en principe pas assez riche pour s' deux centrales d'une valeur de plus de 4 milliards d'euros chacune. Même étalée sur dix ans, la somme représente la moitié du produit intérieur brut (PIB) [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] 2009 du pays. "C'est comme si la France avait un projet industriel à 500 [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] milliards d'euros sur huit ans", précise un expert.
Forte du puissant capital de sympathie [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] dont jouit la France en Jordanie, Anne-Marie Idrac, [url=http://xiaoshuo510.com/viewthread.php?tid=47804&extra=]ugg pas cher Créanciers et secteur privé en Grèce[/url] secrétaire d'Etat au commerce extérieur, a animé [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] le séminaire financier franco-jordanien qui s'est tenu lundi 26 et mardi 27 avril à Amman. "Vu les [url=http://www.xsdysw.com/thread-84638-1-1.html]barbour paris Le trust, niche fiscale des milliardaires POLICEtcetera[/url] multiples projets de développement de ce pays, nous avons souhaité être rassurés sur [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister paris[/url] la ma?trise des publiques", indique-t-elle.
La volonté politique peut toutefois des miracles. La France soutient depuis 2008 le double projet nucléaire jordanien et estime que le développement économique du pays contribue à la stabilité de la région. Elle souhaite néanmoins des garanties. "Compte tenu de la durée des investissements, le nucléaire exige la participation de fonds d'Etat. La France, l', l' ont [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] financé ainsi leurs infrastructures", a expliqué Mme Idrac aux Jordaniens.
produira-t-elle de l'électricité d'origine d'ici à la fin la décennie ? Et cette énergie sortira-t-elle d'une centrale fournie par la France ? Après l'échec technologique et financier subi dans les [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] Emirats arabes unis en 2009, c'est une équipe homogène Areva - GDF-Suez, associée au japonais Mitsubishi Heavy Industries, qui défend les chances à l'export d'un "mini" EPR (un réacteur de troisième génération de 1 100 mégawatts) contre des projets canadien, russe et coréen. |
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