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Jeudi 16 mai, lors d'un forum européen [url=http://bbs.78dm.net.cn/home.php?mod=space&uid=1060283][/url] à Berlin, ?uble, le ministre allemand des - proche de , la présidente du Fonds monétaire international -, a beaucoup critiqué le travail de la Commission. [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] La fragmentation des [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] responsabilités à Bruxelles aurait été, selon lui, source de lourdeurs et de blocages dans le dossier grec.
De quoi l'image d'une union monétaire mal face aux déboires de ses propres Etats membres. "C'est triste. Cela ne fait qu' l'euroscepticisme", conclut Simon Tilford.
La gestion du sauvetage de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] Chypre, où l'organisation de Washington a mis sur la table "seulement" 1 milliard d'euros, sur les 10 milliards [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] octroyés au total au pays, tout en voulant décider de tout, a irrité : "Le FMI a pris un disproportionné", pointe une autre source.
EXASPERATION VIS-?-VIS DE BRUXELLES
De fait, entre l'organisation de Washington, habituée à au secours de pays en faillite, et la Commission, qui doit mêler la gestion d'intérêts économiques et politiques, les méthodes ne sont pas les mêmes.
A Bruxelles, personne n'ose ouvertement le FMI, dont la présence est reconnue comme un gage de crédibilité. La participation du Fonds, souhaitée par l' et appuyée par la BCE, rassure les marchés. Mais sous couvert d'anonymat, les langues se délient. Au fil des plans de sauvetage de l', du , [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] de l' ou de Chypre, "le FMI est devenu de plus en plus dogmatique", dénonce une source bruxelloise.
"OEIL DE MOSCOU"
"Pour ces pays, c'est aussi scandaleux que d' les Etats-Unis réclamer l' du FMI pour la Californie", pointe du "think tank" européen Center for (CER), basé à Londres.
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Après des débuts difficiles, la "tro?ka", née au début de 2010 pour le plan de sauvetage [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] de la , peine toujours à s'. Loin de s', les tensions vont crescendo. Tout comme les critiques, [url=http://xgwz.my.phpcloud.com/bbs/home.php?mod=space&uid=24][/url] issues de pays européens ou émergents, de citoyens ou de dirigeants.
Une fa?on peut-être pour le responsable de la montée du sentiment anti-allemand, mais aussi de désigner le [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] coupable de l'échec d'un sauvetage qui, trois ans après son démarrage, laisse Athènes exsangue et toujours perclus de dettes.
La Commission voit parfois le Fonds comme un "oeil [url=http://tligs.se/forum/discussion/9572/moncler-sito-ufficiale-so-what-can-assist-lower-the-chance-of-important-file-los]moncler sito ufficiale So What Can Assist Lower The Chance Of Important File Los[/url] de Moscou" : intransigeant face aux tentations d' un peu les chiffres de croissance ou de déficit des pays sous assistance pour passer la pilule plus facilement.
Pourtant, la Banque centrale n'est censée qu'un r?le de "conseil technique" au sein de la tro?ka. "Mais la frontière n'est pas toujours claire et cela alimente les accusations de conflit d'intérêts", souligne M. Sapir. En Irlande, l'opinion publique a ainsi reproché à la BCE d' dans l'opacité, en privilégiant son propre intérêt.
"Les mécanismes européens sont très lourds : il faut l'unanimité, les parlements nationaux, tout un [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] jeu politique complexe qui ralentit [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] la Commission et complique la coopération avec le FMI", explique André Sapir, économiste au sein du think tank européen Bruegel, et coauteur d'un rapport publié en mai sur l'action de la tro?ka ("EU-IMF assistance to euro-area countries : an early assessment").
Sur le terrain, souligne M. Sapir, les équipes techniques savent les différences et en harmonie. Au niveau politique, la collaboration est moins évidente.
La présence de la BCE dans cet attelage suscite, elle aussi, des réserves. Notamment en interne : [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] plus orthodoxes redoutent que l'autorité monétaire doive se au jeu des marchandages politiques, au risque de son indépendance.
Le FMI s'accommode mal de ces critiques alors qu'il affronte déjà l'exaspération de certains de ses Etats membres, parmi les pays émergents. Ils comprennent difficilement qu'après géré sans trop d'état d'?me les dossiers de pays d'Amérique latine, d', et d'Asie, le Fonds consacre autant de temps et d'argent aux Etats de la zone euro.
"ACCUSATIONS DE CONFLIT D'INT?R?TS"
(FMI), la Commission de Bruxelles et la Banque centrale européenne (BCE). Un mot russe qui, selon Emmanuel Todd, essayiste à tendance eurosceptique, traduit à lui seul le malaise européen.
Hier surnommés "les cow-boys", les experts du FMI auraient récolté [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] le surnom d'"Ayatollah". Un qualificatif étonnant, l'organisation se montrant souvent plus soucieuse que Bruxelles de ne pas étouffer les pays par des cures d'austérité intenables.
C'est surtout le dossier grec qui, dès l'origine, a cristallisé les tensions. Et c'est encore d'Athènes que risquent de de nouvelles querelles. Persuadé que le pays ne pourra s'en sans un nouveau geste, le FMI plaide pour que ses créanciers publics - les Etats de la zone euro - acceptent d' une partie de sa dette. Une option à laquelle les pays européens ne veulent se résoudre. Pour le moment.
"LE FMI EST DEVENU DE PLUS EN PLUS DOGMATIQUE"
Quel qu'en soit l'objectif, la remarque de M. Sch?uble fait écho à l'exaspération toujours plus grande du FMI vis-à-vis de Bruxelles. "Le FMI en a un peu assez, il trouve qu'avec l' c'est toujours too little, too late ", résumait une source proche des discussions lors des tractations sur le sauvetage de , en mars.