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"UN EFFET M?CANIQUE"
"Il sera difficile [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] d' plus loin, car il y a toujours cette proportion d'élèves qui échouent et à laquelle on n'est pas capable de répondre", souligne Antoine Prost. Ceux qui ne font pas partie des 71,6 % de bacheliers sont soit orientés vers un CAP (certificat d'aptitude profesionnelle), soit ils font partie des 120 000 élèves qui sortent du système scolaire chaque année sans dipl?me.
Mais si forts ces taux soient-ils, ils n'ont que peu d'incidence sur la proportion des bacheliers dans une génération. "Tous les élèves de terminale finissent par le bac. Ceux qui le ratent la première fois l'ont au bout de deux [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ou trois fois, explique , historien de l'éducation. Le bac est le certificat d'études du XXe siècle, dont le taux de succès était supérieur à 90 %."
Parmi ceux qui ont dépassé cette moyenne, certains, comme l', sont caractérisés par un enseignement professionnel fort après l'équivalent du [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] collège. D'autres, à l'image de la , ont fait le choix d'"organiser leurs filières générales et professionnelles du secondaire supérieur sur la même durée", explique , ma?tre de conférences en sociologie à l'université -Vallée. Le fort effet mécanique de cette session aura-t-il des lendemains ? La question reste entière.
Autre effet mécanique, la hausse de 36 % du nombre de candidats au bac professionnel entre 2010 et 2011. La réforme de la voie professionnelle, généralisée depuis 2009, a réduit de quatre à trois ans la durée de formation. Cette année, les [url=http://baselistings.net/noah/item/12799]abercrombie milano Ligue 1 Ollé-Nicolle nest pl[/url] premiers candidats au bac pro en trois [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] [url=http://www.pxygxn.com/WrzcNet_GuestBook.asp]louboutin[/url] ans se cumulent avec la dernière génération du bac pro quatre ans.
Dans les faits, "le primaire bénéficie de mesures intéressantes en termes d'égalité des chances, comme l' individualisée. Mais il y a des mesures contre-productives, comme la semaine de quatre jours ou la baisse drastique de l'accueil des enfants de 2 ans", analyse la sociologue.
LA FRANCE EN DESSOUS DE LA MOYENNE DE L'OCDE
Pourtant, bien des pays font mieux que nous en matière de certification du secondaire. Même s'il est difficile d'établir des comparaisons européennes du fait de la disparité des [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] systèmes scolaires, les statistiques de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur le taux de diplomation dans le secondaire supérieur (l'équivalent du [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] lycée) place la France en dessous [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] de la moyenne des pays de l'OCDE, qui s'établit à 80 %.
Simple effet mécanique ou véritable bond en avant ? La session 2011 restera marquée par de forts [url=http://www.zeixihuan.com/home.php?mod=spacecp&ac=blog&blogid=]lancel pas cher Industrial Magnets And Their Many[/url] doutes sur la confidentialité des sujets. Après la divulgation du sujet de maths de la série S, le ministère a appelé à différemment les barèmes d'admissibilité et d'admission. Le taux de réussite au bac scientifique est de 89,4 %, contre 87,7 % en série économique et 85,6 % en série littéraire.
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La "massification du lycée" dure dix ans. En 1995, la hausse du nombre de candidats au bac s'essouffle. La proportion de bacheliers dans une génération stagne aux alentours de 62 % de 1995 à 2008. Un palier est franchi en 2009, celui des 65 %, et à nouveau en 2010. Qui e?t cru qu'en [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] 2011, 71,6 % d'une génération serait titulaire d'un baccalauréat ? On fr?le les 80 % d'une génération atteignant le [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] niveau bac.
Alors que seul un tiers d'une génération obtient bon an mal an un bac général, l'augmentation de la part globale de bacheliers dans une génération bénéficie surtout du bac professionnel. ?a a commencé avec la progression de 10 points du taux de réussite au bac professionnel [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] entre 2008 et 2009. "C'est un effet mécanique [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] : depuis 2009, les candidats au bac pro peuvent une épreuve de rattrapage, comme au lycée général et technologique", indique Michel Quéré, patron de la statistique au ministère de l'éducation nationale.
Et pour plus loin, pour encore ce taux historique de 71,6 % de bacheliers, c'est eux qu'il faudra . "Le bac se joue dès l'école primaire", soutient Marie Duru-Bellat, professeur à Po Paris. La en est consciente : "la meilleure des batailles, c'est [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l'école primaire", affirme , directeur de l'enseignement scolaire.
lance son mythique slogan, "80 % d'une classe d'?ge au niveau du bac", les vannes du lycée s'ouvrent. La création du bac professionnel cette année-là va le nombre de candidats. Et pour les , les régions investissent massivement dans la construction de lycées.
"LE BAC SE JOUE D?S LE PRIMAIRE"