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"Elgin-Franklin fera date dans l'histoire de l' pétrolière", déclarait Christophe de Margerie, alors directeur général de la division exploration et production de Total, lors de la présentation du gisement au début des années 2000. Et pour cause, le site . Elgin est un gisement dit "HP-HT", autrement dit haute pression et [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] haute température (190 ?C). Les réservoirs enfouis à 5 300 m sont comme de gigantesques [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] cocottes-minute. La pression y atteint 1 100 bars, l'équivalent d'un poids de plus d'une tonne sur l'ongle d'un pouce. De plus, le gaz, comme les condensats (pétroles très légers), sont acides et corrosifs en raison d'importantes teneurs en dioxyde de carbone et sulfure d'hydrogène. Autant de contraintes que [url=http://cgi.www5a.biglobe.ne.jp/~mi-a/petit/petit.cgi]louboutin Waterbirds Suffer F[/url] Total avait surmontées pour au point ces gisements en production, en faisant ".

"Les premières indications montrent qu'il n'y a pas d'impact significatif sur l'environnement", indiquait mardi le groupe. Pourtant, la fuite a provoqué la formation d'un nuage de gaz mais également un épanchement de liquide, entra?nant la formation en mer d'une nappe fine d'hydrocarbures. Repérées par un avion de surveillance, des irisations témoigneraient de la présence de boues de forage et de produits légers associés au gaz. Cité par le , , spécialiste de la pollution marine, indique que "la libération de méthane représente un risque d'explosion très important", mais que c'est aussi "un gaz"acide, contenant du sulfure d'hydrogène, très toxique pour l'homme et la vie aquatique. Une hausse de la [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] mortalité des poissons, très localisée, ne peut être exclue". , océanographe à l'université de Southampton, précise que "les dég?ts sur l'environnement ne seront connus que dans une semaine ou plus, quand on aura fait des mesures pour évaluer le niveau des polluants dans l'eau".
Mardi, le directeur de la santé, de la sécurité et de l'environnement chez Total, , a reconnu qu'un risque d'explosion existait. "Le gaz est inflammable, mais l'alimentation électrique a été coupée sur la plateforme pour le risque d'étincelle, toutefois il est évident qu'il y a un risque", a-t-il admis sur la BBC. D'autant que la torchère, la haute tour métallique servant à br?ler les déchets de gaz naturel est encore allumée. Néanmoins, "le vent pousse le panache de gaz dans une direction opposée à celle de la torchère. Et selon les prévisions météorologiques, il va dans la même direction pendant cinq à six jours", a-t-il ajouté. Alors que certains experts mettent en avant les risques d'explosion si les vents changent de direction, Total l'écartait mercredi. La torchère "fait partie intégrante du système de [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] sécurité" et "ne pose pas de risque immédiat".? Jeudi, si les conditions météo restaient favorables, un nuage de gaz était néanmoins observé à moins de 100 mètres de la torchère encore en activité.
Comme l'on , l'association écologiste norvégienne Bellona a re?u le témoignage d'un responsable des syndicats de salariés travaillant dans l'offshore britannique. Ce dernier affirme que Total avait déjà rencontré d'importantes difficultés, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] et à de nombreuses reprises, sur ce puits. Au point d' pris [url=http://www.qssqjy.com.cn/forum/showtopic-636431.aspx]barbour paris Allemagne A lEst, un peu de nouveau[/url] la décision, il y a quelques semaines, d' de le "tuer". Entre 2009 et 2010, Elgin-Franklin avait déjà été épinglée pour des fuites de gaz et de pétrole (déversement de 4 600 kg d'hydrocarbures au total) et des défaillances de sécurité.
Après quatre jours de recherche, Total a réussi à jeudi la source de la fuite. Elle provient d'un puits désaffecté à 4 000 mètres de profondeur. "Ce que nous savons, c'est que la fuite provient d'un puits désaffecté, un puits qui a été bouché [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] il y a un an, dans une formation rocheuse à 4 000 mètres de profondeur", a expliqué une porte-parole.
une grave fuite de gaz sur sa plateforme d'Elgin-Franklin, en mer du Nord. "C'est le plus gros incident pour Total en mer du Nord depuis au moins dix ans", a reconnu un porte-parole du groupe. Jeudi 29 mars, la situation était "stabilisée", mais la fuite est loin d'être colmatée.
Située à 240 km à l'est d'Aberdeen (Ecosse), la plateforme d'Elgin-Franklin est l'une des plus importantes installations de la major fran?aise. Plus de deux cents salariés y travaillaient au moment de l'accident. La plateforme est posée sur [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] une profondeur d'eau de 93 mètres, alors que le réservoir exploité se trouve à plus de 5 kilomètres sous le fond de la mer. 130 000 barils d'équivalent y sont produits chaque jour, soit 2,6 % de la production de Total. 60 000 barils vont au groupe [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] fran?ais, le reste à ses partenaires, notamment l'italien ENI. Total compte une vingtaine de plateforme pétrolière en mer du Nord. A de trois gisements principaux (Elgin, Franklin, Alwyn), de multiples champs adjacents (Jura, West Franklin, Islay...) ont été exploités afin de au maximum les infrastructures sous-marines.
Dès lundi, les autorités britanniques ont décidé de en place une zone d' maritime de 2 milles marins (3,7 km) autour de la plateforme et d'en le survol à moins de 5,5 km, le nuage de gaz pouvant s' à tout instant. Jeudi, deux navires transportant des équipements anti-incendie ont pris position près de la plateforme. Un autre navire, avec à son bord un robot sous-marin équipé d'une caméra destiné à son [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] état, est aussi sur place.
Total indiquait jeudi qu'il examinait toujours toutes les possibilités pour la fuite. "Nous sommes toujours dans une phase d'évaluation des solutions", a déclaré un [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] porte-parole. Une première solution a été avancée mardi, celle du creusement d'un puits de secours pour la pression du puits principal. Une opération qui prendrait environ six mois. Une intervention sur la plateforme elle-même, plus rapide et sans doute moins co?teuse, semble pour l'instant écartée car exposant la vie des techniciens. Enfin l'hypothèse la plus optimiste voudrait que la fuite s'arrête d'elle-même.
D'autres installations voisines ont également connu des incidents. Le plus grave a eu lieu le 6 juillet 1988 avec l'explosion de la plateforme gazière de Alpha, qui a causé alors la mort de 167 personnes (62 survivants). Et entra?né un renforcement des normes et des consignes de sécurité. , tant les défaillances des équipements, souvent vétustes, sont monnaie courante dans la région. En 2011, d'après l'organisme britannique de contr?le de la sécurité, la s?reté à bord est insuffisante pour 96 % des installations en mer du Nord et 20 % d'entre elles montrent de "sérieuses défaillances". Le révélait dans le même temps que des déversements importants et dangereux de pétrole ou de gaz se [url=http://universe-24.com/blogs/posts/Karbie2y855]jordan pas cher No Cost Websites For Charities[/url] succèdent depuis des années, au rythme d'un par semaine, et [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] ce dans la discrétion [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] la plus totale.