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Pour les Eglises orthodoxes, la vie humaine commence aussi à la conception et il n'y a pas de stade préembryonnaire. Le zygote constitué à la fécondation est un être humain à part entière. "Même un bout de tissu composé de cellules humaines, Dieu en est l'auteur", explique au Mondele Père John Breck, moraliste orthodoxe américain. Les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] orthodoxes condamnent tout clonage thérapeutique parce qu'"il est, au départ, un clonage reproductif, c'est-à-dire une reproduction de matière [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister[/url] vivante", souligne Dominique Beaufils, diacre de l'Eglise orthodoxe en France et médecin.
La position de l'Eglise catholique se résume à une [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] opposition absolue, car tout clonage entraîne des manipulations et des destructions d'embryons. De plus, "le transfert de noyau somatique dans un ovocyte énucléé est un de fécondation inhumain", protestait déjà le Vatican [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] en novembre 2001, après la publication de travaux de la société américaine Advanced Cell Technology, qui avait obtenu les premiers embryons à de la technique du [url=http://www.agentparadise.com]woolrich sito ufficiale[/url] clonage.
Les [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] protestants sont plus favorables au clonage thérapeutique. Leurs Eglises sont divisées, surtout aux Etats-Unis, entre les "traditionalistes", qui soutiennent la thèse de l'animation immédiate de l'embryon, et les libéraux, qui s'en écartent. En France, la tendance défendue par la Fédération protestante est plutôt libérale. Pour elle, les embryons [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] doivent être traités avec respect, mais sans dans l'"embryolâtrie" reprochée aux catholiques. "Il faut éviter de tout personne humaine", estime Jean-François Collange, délégué des protestants au Comité national d'éthique. Il s'explique : "C'est le moment de l'implantation dans [url=http://www.91txw.com/bbs/home.php?mod=space&uid=305&do=blog&quickforward=1&id=24340]barbour deutschland Salaires, emploi, précarité[/url] l'utérus maternel qui est décisif, non celui de la fusion des gamètes." Il admet donc la distinction entre embryon et préembryon. Si les embryons fabriqués par clonage thérapeutique peuvent à des maladies, autant les utiliser : "Si le clonage débouche sur une thérapie, il est signe d'une solidarité."
S'il n'y a [url=http://cgi.www5b.biglobe.ne.jp/~ralf/dengonralf/yybbs/yybbs.cgi]woolrich Délinquance le bil[/url] pas de magistère musulman unique, la réprobation du clonage humain est large aussi chez les théologiens de l'islam. "L'homme est procréateur, non reproducteur. C'est une imposture morale de dé les [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] ovocytes de leur voie naturelle", déclare Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris. L'université Al-Azhar condamne le clonage humain, comme "contraire à la diversité de la Création" : le clonage "est basé sur la reproduction d'une copie des caractéristiques du corps". Mais selon Cheickh Youssef Al-Qaradoui, théologien du qui jouit d'une grande audience dans le monde arabe, "le clonage pour le traitement des maladies ne contrevient pas aux préceptes religieux". L'islam sunnite condamne le clonage, non le progrès médical.
Les juifs aussi sont opposés au clonage humain, qui ouvre la voie à l'eugénisme. Mais ils ne sont pas hostiles au clonage thérapeutique, qui n'implique pas de transgression de la Loi : le sperme n'est pas utilisé et l'embryon n'atteint pas la date [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] des quarante jours à desquels les juifs estiment qu'il est viable. "Il n'existe pas pour nous d'obstacle de fond au clonage thérapeutique si l'Etat nous garantit qu'il n'y aura pas de risques de dérive vers le clonage reproductif", assure le rabbin Michel Guggenheim, directeur du séminaire israélite de France.
Dans la tradition catholique, l'apparition de la vie humaine date du premier instant de l'embryon, qui est une "personne humaine". Cette conception de l'"animation" exclut toute idée de stade pré-embryonnaire dans lequel seraient permises des manipulations autorisant un clonage à des fins thérapeutiques. Cette position est toutefois contestée par des cercles théologiques qui, aux Etats-Unis, défendent l'idée [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] d'une "animation différée", "parenthèse" de non-vie humaine entre la fécondation et l'implantation du fœtus : près des deux tiers des embryons fécondés avortent spontanément. N'est-il pas absurde de à qu'ils sont "animés" ?
Les sont au premier plan de la protestation internationale, car le clonage renvoie au sens sacré de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] la vie. Pour les monothéismes, un principe fondamental est violé : celui de la non-substitution d'un être humain à un autre. Créé par Dieu, chaque être humain est unique et doit le . Dans leur unioncontre le clonage reproductif humain, les divergences opposent toutefois d'un côté les catholiques et les orthodoxes, hostiles à tout clonage et, de l'autre, les protestants, les juifs et les musulmans, ouverts aux possibilités de traitement [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] thérapeutique.
, Mgr , de l'Académie pontificale pour la vie ; quant à , le porte-parole du , il a affirmé que cette annonce "sans preuve" était l'expression d'"un état d'esprit brutal privé de toute considération éthique et humaine". De [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=330564537225&ssPageName=STRK:MESE:IT]abercrombie pas cher This Sea[/url] son côté, l'université Al-Azhar du Caire, référence de l' sunnite, avait publié début décembre une fatwa "interdisant formellement" le clonage humain. Celui-ci "expose l'homme au danger d'être un champ d'expériences et de profanation. Il peut à des défigurations et à des monstruosités".