Energizing Tournament

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Bruno Cavalier chez [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] Oddo Securities, estime, lui, qu'à 100 dollars le baril, "on approche des zones dangereuses". Avec 30 dollars de plus, le prix du pétrole pourrait la reprise. "Aux Etats-Unis, comme en Europe, les consommateurs n'arriveront pas à ce qui s'apparenterait à une taxe supplémentaire rognant sur leur d'achat", explique-t-il.
Après investi massivement sur le [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler pas cher[/url] marché asiatique, les investisseurs semblent ces inquiétudes. Depuis quelques mois, la bulle chinoise se dégonfle, comme en témoigne la baisse de près de 3 % de la Bourse de Shangha? depuis un mois. La crise [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry sale[/url] du monde arabe et la hausse des cours du pétrole ne font qu' le problème. La reprise mondiale, fortement tributaire de la dynamique de cette zone émergente, serait-elle compromise ?
Les experts font leurs calculs. Que le pétrole flambe plus et plus longtemps, et les économies occidentales revivront l'équivalent d'un nouveau choc pétrolier. Pour Ronan Carr, une progression des cours du brut de 85 % à 90 % sur une année glissante pourrait les économies occidentales en récession. "Pour le moment, la hausse équivaut à 40 % mais elle s'accélère", indique-t-il.
Mardi 22 février après-midi, le discours télévisé du dictateur libyen , qualifié d'"effrayant" par la chancelière allemande , a ainsi fait le prix du baril à plus de 108 dollars, à Londres. Du jamais vu depuis septembre 2008 tandis que les grands indices du globe ont enregistré un mouvement de baisse généralisée : - 1,44 % pour le Dow Jones [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] et - 2,74 % pour le Nasdaq à New York, - [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] 1,15 % à Paris pour le CAC 40 après - 1,44 [url=http://heyblue.net/2012/05/13/lost-in-paradise/#comment-134144]En Nouvelle-Calédonie, le jeu des alliances pourrait menacer le gouvernement[/url] % la veille.
La flambée de l'or [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich online shop[/url] noir s'ajouterait à une inflation déjà en marche en Europe (+2,4 % en janvier en [url=http://www.kt70.com/~slave/aile/joyful/joyful.cgi/joyful.cgi]mulberry sale Bay Area Corpor[/url] zone euro) et aux Etats-Unis, qui ne sera pas compensée par des hausses de salaires. Au final, les ménages pourraient donc à nouveau réduire leurs dépenses et un moteur essentiel de la croissance. Un problème d'autant plus épineux que les gouvernements occidentaux ont déjà dangereusement creusé leurs déficits. Leurs marges de [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] manoeuvre [url=http://www.villazuki.it]woolrich sito ufficiale[/url] seraient donc réduites en cas de nouveau coup dur.
Apeurés, les investisseurs délaissent les actifs risqués au profit de valeurs refuges : l'or, dont le cours dépasse désormais 1 400 dollars l'once, ou des emprunts d'Etat américains. "On a commencé l'année sur un sentiment très positif. On se rend compte que tout reste très fragile. Il suffit d'un grain de sable", observe , économiste chez .
Plus inquiétant encore, l'Asie, ?lot [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] de croissance et eldorado des investisseurs, serait la principale victime en cas de "perturbations prolongées", estime , économiste chez Barclays. A ses yeux, une hausse durable - de plus d'un trimestre - des prix du pétrole "pénaliserait d'abord la croissance des émergents asiatiques, qui peinent déjà à contr?ler l'inflation".
Néanmoins, dans les salles de marchés, si personne ne s'improvise expert en , tout le monde imagine les scénarios possibles. Si l'Arabie saoudite était touchée, "il faudrait s' à une profonde dislocation du marché", écrit ainsi , stratégiste sur le marché [url=http://www.rtnagel.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] des taux chez ING, dans une note datée de mardi.
"On change de paradigme", estime , associé chez Partners. Si la sortie de crise n'est pas encore remise en cause, l'optimisme laisse la place au doute. "Les marchés peuvent demain, dans une semaine... Mais, une chose est s?re, la Bourse restera en proie à une forte instabilité", conclut-il.
Moteur grippé
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Le recul était plus prononcé encore en , partenaire économique important de la Libye où [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] la de Milan a cédé 1,06 % après une chute de 3,59 % lundi. A Chicago, les cours du blé (-7,01 %), du ma?s (-4,17 %) et du soja (-5,07 %) s'effondraient également. Le mouvement se poursuivait [url=http://www.bea.hi-ho.ne.jp/cgi-bin/user/hshinkawa/light.cgi?res=385]www.tagverts.com/barbour.php [/url] dans la matinée de mercredi en Asie et en où les Bourses ont ouvert dans le rouge.
De fait, après gagné [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich outlet[/url] la , l', et maintenant la Libye, les financiers s'interrogent : jusqu'où les soulèvements populaires iront-ils ? A court terme, chacun se rassure. "La Libye ne représente que 2 % de la production mondiale de pétrole", rappelle Gregori Volokhine, directeur au sein de la société de gestion Meeschaert, à New York. En outre, "jusqu'à présent, il n'y pas de signes de contagion à l'", pays crucial pour l'approvisionnement pétrolier (10 % de la production mondiale), note , stratège chez , à Londres.
, et plus globalement dans le monde arabe, alimente la nervosité des marchés. Si l'heure n'est pas encore à l'affolement, les mouvements populaires dans la région, réservoir stratégique de , font les places boursières sur fond d'envolée des prix de l'or noir.